Critique de l'album
- Gronibard (2002)

le 12/08/2011 par lorrain

Parce que ce blog risque de manquer de sérieux, voici une entrée en matchière qui donne un la à -4.2 sur l’échelle de ton Q. Attendez. Prout–laaaaaaa. Prout–laaa; ouais, c’est bon. Au cas où–comme je vous le souhaite–vous ne connaitriez pas Gronibard, je vous propose une rapide visite guidée du seul album que j’ai pour l’instant eu le courage d’écouter de bout en bout. Ceci ne sera qu’un préliminaire, libre à vous de vous y introduire plus profondément par la suite…

Pour entrer dans le vif du sujet, rien de tel qu’un rapide survol des titres de leur album éponyme. Après « Crème de chatte » et « Pomme d’anus », vous découvrirez avec plaisir « J’ai joué l’anus artificiel de mon grand-père au PMU » ou encore « Chérie, aurais-tu l’obligeance d’écarter les fesses ». Je vous avoue que la suite de l’album bascule dans une grossièreté parfois choquante. Ainsi vous écouterez peut-être « Je te chie dans le cul avec une verrue plantaire sur l’anus » ou « Hémorroïdes bucco-dentaires » avec un certain dégoût.

Mais cette esquisse ne prétend en rien remplacer l’expérience inoubliable d’un vrai morceau de bonne viande de bon goût. C’est pourquoi j’ai sélectionné pour vous un florilège de l’art de ces sampleurs hors-paire grind-pore… Je recommande aux moins téméraires d’entre vous les pistes 2 (« www.j’t’aspire le derche.com »), 3 (« La raie de mon cul, c’est une trousse à bites »), 7 (« J’ai joué ma bite en bourse »), 11 (« J’ai fait des écouteurs pour mon walkman avec tes trompes »), 28 (« Viens là! Suce ma bite »), 32 (« Il est pas carré, il est pas rond, il est ovale mon trou de balle ») et 33 (« Fragments of corpse in my Bicky Burger ») en priorité. Le tout tient en huit minutes et c’est disponible sur grooveshark (sauf la piste 28). Vous noterez au passage les samples des morceaux 3 et 33, qui proviennent du film le plus classe de ce monde de merde! A moins que ce soient ceux des morceaux 11 et 32, parce que ces histoires de marquis, ça a l’air classe aussisse quand même… ++

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Un commentaire

  1. olivier olivier dit :

    Rien que pour les samples du Grand Détournement, ça vaut le coup qu’on y jette une oreille. Mais j’aimerais aussi bien savoir d’où vient cet échantillon magique: « Tiens, occupe-toi plutôt de ma bite. ».

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