le 02/01/2013 par le peupl
Ce mois-ci c’est sobre. 2012, fin.
Wheatley opère un coup de maître: un long mêlant avec brio des éléments du cinéma de genre anglo-saxon et du film noir. Le final est d’un nihilisme percutant!
Majewski nous initie à une expérience hors du commun en donnant vie à la célèbre peinture de Bruegel. Un essai-récit à l’onirisme noir, d’une grande maîtrise.
Chant du cygne du grand réal. hongrois Béla Tarr, où l’éternel retour du même prend tragiquement fin. Reste la beauté pure, les ruines d’un combat avec la nuit.
Le chef-d’œuvre de Powell et Pressburger, disponible dans une version entièrement restaurée, vous subjuguera par la beauté de sa photographie!
De retour, l’Igorrr avec trois R! Pour nous fournir un breakcore mâtiné de psaumes et de riffs distordus; et ça embaume plus que l’encens d’église! Bien tiqué.
Dans « Le Grand Sommeil », ça trahit, ça cogne, ça picole entre deux, et ça retrahit pour mieux cogner; un sommet du noir US, traduit par Vian, s’il vous plaît.
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